Si le tourisme est un pilier économique majeur de la France, il est aussi très polluant. En 2022, le secteur a émis 97 millions de tonnes de CO2e, soit l’empreinte carbone annuelle de 10,5 millions de Français. En cause, la mobilité et plus particulièrement le transport aérien.
Illustration de la répartition des émissions de gaz à effet de serre du secteur du tourisme en France en 2022 :
Fermes urbaines sur des toits, carrés potagers en pied d’immeuble, jardins partagés dans des rues ou des parkings… L’agriculture urbaine est en plein essor, en particulier en Île-de-France, où plus de 190 hectares sont désormais cultivés, soit l’équivalent de 270 terrains de football ! Pour fédérer les acteurs de ce secteur, l’association française d’agriculture urbaine professionnelle (AFAUP) a créé, en 2023, le Réseau Francilien des Agricultures Urbaines, soutenu par l’ADEME. Récemment, une nouvelle convention a été signée entre l’AFAUP et l’ADEME afin de pérenniser la dynamique de réseau.
L’agriculture urbaine, c’est quoi ?
L’agriculture urbaine désigne la production alimentaire au cœur ou en périphérie des villes. Elle englobe diverses pratiques et techniques de culture telles que : jardins et potagers collectifs, fermes urbaines, pleine terre, hydroponie et aquaponie, maraîchage sur sol vivants comme les potagers communautaires… En Île-de-France, cette forme d’agriculture connaît un réel engouement avec plus de 1 600 projets recensés aujourd’hui.
Aujourd’hui, de nombreuses offres d’électricité sont dites « vertes ». Mais qu’est-ce que cela signifie ? Comment faire le bon choix ? Est-ce économique ? Qu’est-ce que le label VertVolt ? Démêlons le vrai du faux avec Johann Thomas, coordinateur scientifique et technique de l’ADEME.
La plupart des offres d’électricité sont-elles vertes ?
Pas tout à fait vrai. Sur le marché des offres d’électricité, la plupart des fournisseurs proposent des offres dites « vertes », mais il faut préciser ce que comprend ce « vert ». L’énergie nucléaire est par exemple « décarbonée », mais l’ensemble de la filière n’est pas « verte ». L’électricité verte est produite à partir de sources renouvelables, comme l’énergie solaire, éolienne, hydraulique ou géothermique. L’électricité décarbonée inclut le nucléaire. Les deux types d’électricité sont produites sans émettre directement de CO2, seule leur origine diffère.
Avec ses nombreux bénéfices, la marche constitue une réponse bien plus crédible qu’on ne l’imagine aux défis de la transition écologique.
Mathieu ALAPETITE – pour la Fondation Jean Jaurès.
Notre société ne peut se passer de mobilité. Si la marche constitue le liant de la ville, la mobilité reste le liant de notre territoire, dans sa globalité. Nous n’allons pas moins nous déplacer demain, l’enjeu de la mobilité est de se déplacer mieux, en utilisant les solutions appropriées, d’un point de vue écologique, social, territorial et sanitaire. Dans ce contexte, la marche ne manque pas d’arguments.
Cliquer ici pour découvrir le rapport de Mathieu ALAPETITE dans son intégralité
De nombreux jeunes (collégiens, lycéens et étudiants) s’interrogent sur leurs moyens d’agir contre le changement climatique et la préservation du vivant. Conscients des enjeux environnementaux et sociaux, ils ont envie de vivre dans un monde plus durable, plus solidaire et plus équitable mais ils ne savent pas toujours ce qu’ils peuvent faire pour limiter leur impact écologique et participer à la transition écologique. Ce guide leur apporte des solutions concrètes à appliquer au quotidien ainsi que des pistes pour s’engager.